Présentation
Michael Menzel est né en 1975. Il vit à Krefeld avec sa femme et son fils Johannes. Il a débuté sa carrière d'illustrateur de jeux en 2003.
Specifications
- Auteur
- 12 Jeux
- Illustrateur
- 144 Jeux
- Zone géographique
- Allemagne
- Site web
- http://www.atelier-krapplack.de/
Asante
Excellent
J'en ai passé du temps aussi sur celui-ci. Avec mon frangin à l'époque on faisait des games pendant des heures... Il a bien viellit je trouve contrairement à d'autres jeux de sa catégorie.
My City
My city, un city builder jeu de plateau comme il en existe beaucoup
J'aime beaucoup les citybuilder en format jeu de société mais celui-ci reste tout de meme une pale copie de certains grands city builder des jeux de sociétés. On s'accroche tout de meme à ces quelques originalités dont l'apparition d'évenements aléatoires avec les dés, pour ce faire j'utilise Online dobbelsteen
Andor: Le Coffret Bonus
Gagnez en coopération contre les forces du mal
On ma offert ce jeu à noel et je ne le connaissais pas du tout. Après quelques heures à comprendre les règles qui ne sont pas très simple il faut sa l'avouer. Et bien on met en place le plateau encore pas mal de temps et puis.. on peut enfin jouer ! Et le système de jeu repose sur la coopération et vaincre les forces du mal. C'est sympas mais je pense que la mise en place m'avais déja un peu cassé le morale, le jeu se base sur un système de lancer de dés tel que : https://www.wuerfelonline.de ainsi que les bonus de votre personnage pour réussir a gagner la partie contre des événements aléatoires.
Une Colonne de Feu
Plutôt une jolie chandelle
Ayant conservé de bons souvenirs de Un monde sans fin, un peu moins des Piliers de la terre, j'étais vraiment curieux de voir ce qu'allait donner ce nouveau jeu de Michael Rieneck, surtout que j'étais en train de lire le roman de Ken Fawlett. C'est toujours très sympathique de retrouver en jeu des personnages dont on lit les aventures par ailleurs et à chaque fois, je me demande quelles caractéristiques vont être retenues pour rester fidèle au roman.
Le matériel est très correct, et les illustrations de Michael Menzel sont agréables ; J'ai même eu la surprise de reconnaître quelques figures du roman tels que je me les imaginais. Les mécanismes du jeu, fondés sur une gestion de dés, de placements parfois aggressifs et de choix religieux fonctionnent assez bien, il est même possible de faire preuve de fourberie pour placer vos adversaires dans l’embarras. Comme dans le roman, la rivalité entre les catholiques et les protestants joue un rôle important et il vous faudra parfois changer de camp.
Ceci étant dit, j'ai joué 3 parties, toutes à 4 joueurs et j'ai gagné 3 fois. Donc, vous êtes en train de vous dire « D'accord, ce jeu doit surement lui plaire »...
Et bien oui… et non. En fait, j'ai eu l'impression d'en avoir fait le tour après la troisième partie, ce qui est très inhabituel chez moi, et le fait d'avoir gagner n'y est vraiment pour rien. Non, Une colonne de feu n'est pas un jeu désagréable, mais il entre dans la catégorie de ces jeux plus légers qu'on pourrait le penser, proposant une profondeur stratégique un peu faible. Il peut y avoir un brin de négociation, mais il y a surtout beaucoup d'opportunisme. La part d'aléatoire (plus sur l'apparition des cartes que les résultats des dés) a fait tiquer certains de mes adversaires durant les parties, et parfois à juste titre je le reconnais. Après, il y a quelque chose auquel j'accroche pas toujours, ce sont les fins de partie genre « le premier à atteindre x points gagne ou provoque le dernier tour » parce que parfois je trouve que ça ne colle pas avec l'ensemble...et c'est le cas ici. Et puis cela manque un peu de souffle tout ça...
Donc, et bien… j'ai fini par revendre ma boite. Oui, ces derniers temps, j'ai fait quelques achats pas bien inspirés et Une colonne de feu en fait hélas partie. Il est rare que je me sépare aussi rapidement d'un jeu (c'est toujours un peu douloureux pour moi), mais j'avais vraiment plus envie d'y revenir.
C'est dommage, je souhaitais peut-être un peu trop retrouver les sensations de Un monde sans fin.