Claus Stephan

Présentation

Né en 1960, Claus Stephan est marié, il a une fille et vit à Duisbourg en Allemagne. Plus jeune, il voulait devenir agent secret, astronaute, puis musicien ou dessinateur de bandes dessinées, artiste ou professeur de géographie. Après avoir été designer publicitaire, il a aujourd'hui atterri dans l'illustration de jeux et de livres. Parmi les nombreuses distinctions qu'il a reçues pour ses illustrations de jeux, citons « Keltis » (Spiel des Jahres 2008) et « Bonnie & Clyde » (Graf Ludo 2009). Son credo : « Trouver un bon équilibre entre forme et fonction en équipe avec des rédacteurs et des auteurs, c'est une mission passionnante et stimulante lors de la conception de jeux. »

Specifications


Illustrateur
70 Jeux

Avis

Les Cités Perdues

Un de mes favoris

| 27 mars 2022 | Olaf

Bonjour ! Tres bon jeu de cartes,, les instructions sont faciles a comprendre, c'est aussi des parties rapide (une heure voire moins), le seul bemol c'est que ca se joue a 2 seulement.

Karuba

À chacun sa route

| 30 avr. 2018 | william150574

Surprenant, encore une merveille de rudiger dorn après Goa, Istanbul, Las Vegas, les chevaliers voleurs....et là Karuba....tellement différents les uns des autres

Karuba

Variante "joueurs"

| 18 mai 2017 | limp
Ne pouvant ajouter cette variante dans l'onglet concerné, je vous la propose ici dans mon avis : "Si vous jouez entre adultes, pour des parties plus rudes, vous pouvez décider de changer un point de règle en interdisant les impasses. Le jeu devient alors bien plus difficile... Ce changement peut permettre également d'ajouter une difficulté aux adultes face à des enfants qui joueraient pour leur part avec les règles de base autorisant les impasses."

Race for the galaxy

Les Mystes du JdS

| 18 mai 2017 | Ryleh
Voilà un jeu qui visiblement soulevait bien des controverses à son sujet, entre ses adorateurs et ses détracteurs. Et je dois dire que je les comprends tous deux, mais ne fait partie ni des premiers, ni des seconds. Il y a clairement un obstacle majeur de compréhension, une iconographie anormalement alambiquée, et une rédaction des règles peu claires qui rendent le jeu abscons pour la grande majorité des joueurs dont je fais partie. La première partie est une douloureuse expérience, où l'on se demande qu'est ce qui nous a pris d'avoir acheté un truc pareil. Et pus vient la relecture des règles, la seconde puis la troisième partie, Et on commencer à comprendre le truc, l'engouement, la multiplicité des tactiques, la profondeur du jeu qui s'annonce phénoménale. Mais que d'efforts pour cela ! A croire que Thomas Lehmann est le Umberto Ecco du monde ludique et qu'il voit son jeu comme un Graal qui se mérite au fur et à mesure des révélations, comme s'il fallait devenir membre d'une société secrète, ceux qui ont compris l'essence de Race for the galaxy. Je trouve cette altitude très geek plutôt dommageable pour notre loisir. Pourquoi à tout prix vouloir tracer une frontière entre "eux" et "nous" ? C'est dommage de ne pouvoir faire profiter au plus grand nombre d'un jeu aussi abouti.