On pouvait déjà voir le prototype de ce jeu lors du dernier salon d'Essen, au mois d'Octobre dernier.
Depuis, sa sortie est annoncée pour Janvier 2013.
Du coup, où en sommes-nous ?
Eh bien, depuis deux jours, vous pouvez enfin lire les règles du jeu sur le site de l'éditeur... enfin, si vous maitrisez l'allemand, sans quoi, elles ne vous apporteront pas grand chose.
Mais forcément, quand l'auteur se nomme Stefan Feld, on a envie d'en savoir plus, forcément. Le monsieur nous a quand même régalé avec Notre Dame, Revolt in Rom, Les châteaux de Bourgogne, Trajan, l'année du dragon, Macao, Strasbourg et bien d'autres (voir ici)...
Dans Bora Bora, vous allez utiliser des dés, mais comme l'auteur nous y a habitué dans d'autres de ses jeux cités un peu plus haut, leur utilisation sera novatrice et inhabituelle.
Durant la partie, vous serez amenés à bien équilibrer la gestion de votre population qui devrait croitre tout doucement. Votre village lui-même s'étendra tout doucement, et de nouvelles habitations seront créées.
Lors de chaque tour de jeu, vous aurez de 5 à 7 actions disponibles, selon le nombre de joueurs présents
Chaque joueur lance trois dés au début de chaque tour, puis ils placent un de leur dé à tour de rôle sur une des actions disponibles. En plaçant un dé de grosse valeur sur une action, vous aurez droit à cette action en plus puissante: plus d'argent, plus de choix parmi les personnages à prendre, meilleure position dans le conseil municipal...
Mais placer un résultat faible n'est pas forcément une mauvaise idée non plus car il n'y a qu'une place par action et que pour y placer un dé, il faut que ce dernier est une valeur inférieure à tout dé déjà en place. Placer un dé de faible valeur sur une action peu donc vous assurer de bloquer cette dernière aux autres joueurs.
Les cartes qui apparaitront durant la partie vous inciterons à prendre telle ou telle direction tactique tandis que les tuiles "Dieux" vous accorderont des actions spéciales et autres capacités faisant entorse aux règles de base.
Il n'y a aucun commentaire