Knizia doit être une usine à rêve pour les auteurs de jeux vu tout ce qui sort de ses cartons.
Il a de la ressource et sait transformer ses jeux pour nous proposer un nouveau matériau pour nos soirées ludiques.
Et quand il ne change pas un de ses jeux pour en faire un autre, c'est un illustrateur, à la demande d'un éditeur qui s'en charge.
Et à l'arrivée, ça nous donne "Dream Factory", dont nous venons de retirer le film plastique pour réaliser un rêve : avoir l'impression, le temps d'une partie, de pouvoir être un riche millionnaire dont le métier consiste à rester assis sur sa chaise à gueuler après des stars dans son haut-parleur...